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17 juin 2019 1 17 /06 /juin /2019 09:06

4e de couverture: "Anna, Clothilde, David, Jossian, Julie, Manon, Mohamed, Sébastien, Valoucka: des jeunes plus ou moins diplômés, cumulant stages, petits boulots et vrais emplois précaires, dans la restauration, la manutention, la communication, le nettoyage, le médical. Ils voudraient devenir animateur, avocat, ingénieur, et pourquoi pas paysan, ou  bien s'essayer à l'humanitaire, à la création d'entreprise. Mais pour l'heure, ils sont confrontés à la privation d'emploi, et à tout ce que cela implique dans la vie quotidienne.

Ecouter leurs récits, c'est découvrir des personnalités et des trajectoires de vie singulières, inattendues, épatantes, même. C'est se confronter à leur réalité qui renverse le mythe du "quand on veut, on peut" si répandu aujourd'hui.

Ces jeunes sont bousculés par les duretés de la vie sociale, mais toujours en mouvement, s'efforçant de comprendre ce qui leur arrive, guettant l'opportunité à saisir. Ils regardent l'avenir avec leurs envies et leurs impatiences, leurs inquiétudes et leurs espoirs. Leur destin est aussi un peu le nôtre."

Mon résumé:  Rien de + en dire!

Mon avis: Ce livre, je l'ai lu quand je n'avais plus d'ordi (quinze jours sans ordi, ça aide à lire!).

Mais je l'avais depuis un moment. En effet, les jeunes qui figurent dans ce livre sont des jeunes qui font partie de la JOC, une association dont je fais partie. Et je connais l'une d'entre elles, Julie, une amie.

Et lire tous ces récits mis en mot par Patrice (parce que ce sont bien les mots des jeunes qui sont repris), y compris celui de Julie, que je connais donc bien, ça fait du bien, beaucoup de bien. On est loin des discours politique et du discours du "quand on veut, on peut", en effet.

On lit ces récits assez facilement, en quelques heures.

Et on a envie ensuite de les rencontrer ou bien de raconter aussi son histoire (surtout quand, comme moi, on a aussi longtemps longtemps été dans une situation de jeune privé d'emploi). D'ailleurs, ce terme de "privé d'emploi" me plait plus que celui de "chômeur", il est plus mélioratif.

A mettre entre toutes les mains!

 
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